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A propos de l'Institut National de Santé Publique

L'Institut National de Santé Publique (INSP) est un établissement public à caractère scientifique et technique.

  • Contribuer à l'amélioration de la santé de la population
  • Veiller à la santé publique
  • Promouvoir des modes de vie
OBJECTIF PRINCIPAL

Coordonner et s’assurer de l’efficacité de la prévention

L’Institut National de Santé Publique a pour objet de mettre à la disposition des programmes, de la société civile et des décideurs, l’information, les compétences et un cadre de riposte performant dans le but d’assurer efficacement la prévention, la détection et la riposte contre les épidémies et autres urgences sanitaires.

Situation épidémiologique

Depuis le début de la 16ᵉ épidémie de la maladie à virus Ebola déclarée le 4 septembre 2025 dans la zone de santé de Bulape (province du Kasaï, RDC), un total de 64 cas ont été enregistrés, dont 53 confirmés et 11 probables, avec 45 décès (soit une létalité globale de 70,3 %). Parmi les cas confirmés, 34 décès ont été rapportés, soit une létalité spécifique de 64,2 %, et 18 personnes ont été déclarées guéries après traitement. Les aires de santé de Bulape et Dikolo demeurent les plus touchées depuis le début de la flambée.
Au 15 octobre 2025, aucun nouveau cas confirmé n’a été notifié, marquant 19 jours consécutifs sans nouveau cas. La transmission communautaire est en nette diminution, indiquant une maîtrise progressive de la situation.
Sur le plan de la prise en charge médicale, 29 patients suspects étaient hospitalisés, dont un cas confirmé, avec un taux d’occupation global de 90,6 % (et 4,3 % pour les confirmés). Depuis le début de la riposte, 31 patients ont bénéficié du traitement spécifique Mab114/Ebanga.
En matière de surveillance, 178 contacts ont été suivis avec un taux de couverture de 100 %, et 34 échantillons ont été analysés le jour du rapport, dont un réprélèvement positif. Les activités de vaccination se poursuivent activement avec 37 240 doses déployées et 32 143 personnes vaccinées à ce jour.
Les efforts de prévention et de contrôle des infections, de sensibilisation communautaire, ainsi que le soutien psychosocial se poursuivent dans toutes les 21 aires de santé.
L’épidémie reste sous contrôle, mais la vigilance demeure essentielle pour prévenir toute résurgence du virus.

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La situation épidémiologique à la semaine 35 montre une amélioration notable dans certaines provinces, notamment dans les zones de santé de Tshopo, Nord-Kivu, Tanganyika, Kinshasa et Equateur. Toutefois, la létalité demeure élevée dans plusieurs provinces, avec un taux de 28 % dans la Lomami, 20 % dans la Tshuapa, 19 % dans le Sankuru, 6 % dans la Tshopo, et des taux de 4 % et 3 % respectivement dans les provinces de l’Equateur, Maniema et Tanganyika. Par ailleurs, le nombre de cas hebdomadaires reste globalement élevé dans les zones endémiques, dépassant la moyenne habituelle, ce qui indique la persistance d’une transmission active et la nécessité de maintenir des mesures de surveillance renforcée et des interventions ciblées pour limiter la propagation de l’épidémie.

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Situation épidémiologique de Mpox à la SE 35, 2025

CasValeur
Cas Suspects Investigués​927
Cas prélevés578
Cas testés290
Cas confirmés122
Vaccinés (>1 dose)642 802

Incidence hebdomadaire de cas suspects de choléra et taux de létalité en RDC semaine 1- 2023, Semaine 30-2025
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